
La billetterie pour le dernier concert de la saison est ouverte ! Rendez-vous le samedi 24 mai à 21h !
Vous pourrez entendre Aïda Borràs Carpentier (flûte), Cédric Camier (thérémin) et Adèle Gornet (clavecin).
L’ensemble de la saison se tiendra au Temple protestant d’Arras, 16 rue Victor Hugo.
Les concerts précédents :

Le temps d’un concert, nous vous invitons à suspendre l’instant magique de l’aube…
Nous nous promènerons ensemble entre les rêves de la nuit et les promesses du réveil : de l’évocation de l’aube par le musicien indien Ravi Shankar à la pétillante Cantate du café de Jean-Sébastien Bach, nous écouterons la plainte d’un berger composée par Louis-Nicolas Clérambault et l’espoir évoqué par le lever du soleil dans Épilogue d’Analia Llugdar.
Ce programme vous est proposé par Aïda Borràs – flûte, Pierre Descamps – violoncelle, Adèle Gornet – clavecin, Clothilde Sebert – chant, Élisabeth Vollet – violon.

« Puisque l’aube grandit, puisque voici l’aurore”, guettons ensemble les premières lueurs du jour. Au son de l’accordéon, des percussions et du violoncelle, le ciel s’éclaircit peu à peu et se teinte de rosé.
De Grieg à Pat Metheny, de Georges Sand à Jean Anouilh, à Tokyo ou à Buenos Aires, la voix de Florence Roche nous entraîne et nous révèle tous les secrets du petit matin.
Rêvons, c’est l’heure…
Ce programme vous est proposé par Grégoire Carpentier (violoncelle), Ludovic Montet (chant et percussions), Raphaël Limousin (accordéon) et Florence Roche (récitante).

À la fin de notre précédent concert, l’astre du jour s’est enfin levé avec le refrain entonné de Michel Fugain.
Laissez-vous charmer par le lumineux quatuor avec flûte de Mozart et suivez-nous sous le soleil d’Andalousie à la rencontre d’un fameux barbier.
Vous pourriez aussi rencontrer une égyptienne, une danseuse aux crotales et même Pan, le dieu du vent d’été.
Rêvons, c’est l’heure…
Ce programme vous est proposé par Aïda Borràs (flûte), Vincent Huteau (violon), Élisabeth Vollet (alto) et Grégoire Carpentier (violoncelle).

Lorsque la rêverie du jour glisse dans le crépuscule, elle étiole sa force ; sa poésie se morcelle, contrastée : fragile à l’approche des doutes solitaires et sombres de la nuit, mais emportées par les effluves des fêtes éclatantes appelant le corps à la frénésie.
Les subtils éclats voisés de Morton Feldman seront les pré-échos du Spleen harmonique d’Analía Llugdar.
La douceur colorée du soir par Debussy fera trinquer les verres redevenus éclats granuleux sous la coupe de Iannis Xenakis puis sombrera, dans des spectres spatialisés et tourbillonnants de Cédric Camier.
En leurs contours, Luciano Berio, réconfortant, y cueille la couleur vraie de l’amour.
Au plus fort de la noce, se délestant de chaînes intérieures, Benjamin de La Fuente lance héroïquement ses cordes électriques. Tandis qu’en observateur fuyant sous son bonnet de nuit, Wagner s’explique déjà en rêve avec sa petite mort.
Rêvons, c’est l’heure…
Ce programme vous est proposé par Sophie François-Derancourt (voix), Pierre Descamps (violoncelle) et Cédric camier (électro-acoustique).